J'apporte un peu plus de précision:
Half Hour Of PowerPremier album du groupe qui fait déjà preuve d'une maîtrise des mélodies impressionnantes ; La pochette, ultra cheap rappelle quand même que l'on a affaire à des djeuns de 18 piges qui veulent prendre du bon temps, faire du rock car c'est cool, surtout ne pas se prendre la tête.
All Killer No FillerVoici donc l'album aux clips irrésistible : Fat Lip et In Too Deep. Sum 41 prouve à travers les images et le son qu'ils sont l'avenir de ce punk de supermarché, super accessible et blindé d'adrénaline.
On garde la petite touche Heavy avec l'hilarante Pain for Pleasure, morceau composé par Stevo, dans laquelle il échange sa batterie contre le micro, laissant sa place à Deryck.
Does This Look Infected?Avec "Does this look infected ?", les Sum ont bel et bien l'intention de montrer qu'ils sont là pour un moment ! Malgré la pochette affreuse, on devient, qu'on le veuille ou non, accro à ce disque!
Mis à part Cone qui n'est pas très branché par les délires des autres, tout le monde a changé de surnom : Deryck devient Sirbiznatch, Dave devient The Right Honorble Sir Captain David Brown Sound of the first Airbone Regiment heavyweight Champion PHD et Stevo devient Stevo dirty Poo.
ChuckCette fois-ci, ils l'admettent eux-même, les Sum ont muri ! Et on le constate vite dans le clip de leur second single Pieces, même si le clip de We're all to blame restait encore dans la lignée de leurs autres clips délirants. Sur Chuck, on découvre aussi pour la première fois des chansons "calmes" (Some say, Pieces, Slipping away) tout en gardant les bonnes vieilles références comme sur The Bitter End, hommage avoué à Metallica. Malgré leur mésaventure au Congo, We're all to blame fut la seule chanson que Deryck ait écrit en revenant de là-bas, et ce premier single est à l'image de l'album : une succession de moments calmes et énergiques.
À noter que certaines éditions proposent Noots, Subject to change et Moron en bonus.